• égarement
    descriptif:

    tu es née du fin fond d'un grenier, alimentée de harcellements, d'agressions et d'abandons, seule avec mon étoile je luttais nuit et jour contre tes fantômes inexplicables, petit à petit tu as préféree habiter mon corps que mon esprit, pour me détourner de la réalité.

    tu m'as envahie, mais tu t'es enfouie, je t'ai oublié.

    on s'est retrouvée un jour sans cris égard, tu m'as attaquée par surprise, sans défense, j'ai sombré, mais je suis partie du fond pour mieux remonter à la surface.
    ensuite j'ai décidé de faire face, avec le peu j'y suis arrivée à long terme, j'ai renforcée peu à peu mes fragilités, il suffisait de te connaitre, d'aller à la source et t'apprivoiser. grâce au temps, à l'inconscient ... affronter la réalité c'est faire 70 % du travail !!

    mais pour cela je dois remercier mes proches, mes amis, et les tiers personnes qui m'ont supportées, guidées, jamais je n'oublierais.
    j'ai appris qu'il fallait d'abord s'aimer pour aimer les autres et pouvoir leur rendre et donner.il faut apprendre à s'oublier.

    parfois encore tu essaye de me hanter, mais j'ai compris qui tu étais, plus forte des fois tu réussie mais de courte durée, ta fréquence diminue, mon esprit évolue, je fais force de la fragilité.

    je me suis débarrassée de ma névrose, de ma dépression, j'aime le sommeil, et j'arrive mieux à aimer alors j'écris ceci en ce moment car je suis fragilisée, je veux me remémorer tout mes efforts, et ne pas perdre espoir, je veux croire en moi, et apprendre à encore mieux me maitriser, ne plus anticiper, mais pour cela il faut aussi que je prévienne au lieu de guérir !

    un jour je ne serais plus lunatique, égoiste, je me raisonnerais même dans le fond, je patienterais et je positiverais même quand je ne contrôle pas tout. je veux changer de point de vue, et m'ouvrir encore plus. je n'aurais besoin que de moi même.

    pour l'instant je veux juste mes partielles, et voir mon chéri ! lol

    et voilà, c'est l'histoire d'apprendre à aimer la vie, la voir comme une amie et non une ennemie !

    pour ceux qui perdent espoir ... mon histoire n'est pas si noir, il y a pire mais dedans on ne le voit pas.

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  • cogito ergo sum

    je pense donc je suis.
    c'est la seule chose dont on ne peut douter, c'est l'ultime vérité.


    mais que suis-je ?
    un doute, une pensée infinie ? juste une poussière d'étoile réfléchie.
    un moi englobé dans un tout ? juste une marionnette qui choisit.


    où est le doute ? où est la vérité ?
    ne faut t-il pas un juste milieu pour les rapprocher ? les deux sont opposés.
    peut-on se rapproché du vrai en doutant, savoir sans doutes ?
    l'un est là pour commencer, l'autre pour conclure, il faut d'abord apprendre à douter et par expérience prendre confiance pour choisir et avancé, ouvrir un maximum de portes vers la vérité.


    mais qu'est ce que la vérité ?
    un savoir global et certain exempté de subjectivité et d'humanité, c'est la stabilité instable du monde, ce qui se cache derrière, comme un pilier pour soulever le monde progressant.
    elle est là pour nous rappeler nos objectifs premier et nous aider à s'en rapprocher.
    elle n'est pas palpable, muable elle nous retrouve dans la sérénité, faut-il ensuite savoir la regardé et l'utilisé.
    on devrait tous la puiser pour chacun avancer dans une direction approprié qui reconstruirait l'humanité, mais c'est oublier regrets, doute et histoire, passé qui construit et détruit à la fois.
    on préfère se contenté du pouvoir et de la richesse, bonheurs approximatifs plus à porter de nos mains. l'homme travaille de dur labeur pour un bonheur alors qui suffit qu'il s'écoute pour s'apercevoir que l'or c'est lui, la nature, la vie.

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  • Déclaration version 1Petit amour aux ailes étranges
    Tu voles autour de moi tel un ange
    Tu veilles de loin prévenant berger
    Comme l'étoile que je regarde au coucher
    Goutte à goutte, tu remplis mon coeur
    Que je puise en quête de Bonheur
    Je plonge en toi à travers ta voix
    Et te découvre une âme aux éclats
    Curieuse, rêveuse, téméraire, prête à s'ouvrir
    Pareille à une fleur pour s'épanouir
    Tu es comme des petites notes de musique bohémienne
    Qui glisseraient dans le lit de mes veines
    Ton amour dans mon coeur est l'écho d'un grelot
    Comme le déclare si bien le dit Cyrano
    Tu n'es pas parfait quelle aubaine
    Il n'en fallait pas plus pour que je t'aime
    Voilà c'est dit j'en rougis malheureuse
    Tout en finissant sur le mot "heureuse"



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  • On se retrouvera...

    Ce soir, à l'heure où les chats sortent,
    Je marchais dans le Noir, j'ouvris une porte,
    Celle de ta chambre où mon Amour pleura,
    Mon c½ur se souleva et devînt Ambre,
    Ton âme s'était consumée,
    Tu avais fini de jouer tes dés,
    Le chien, animal fidèle,
    Avait aboyé jusqu'à la mort,
    Faisant fuir les hirondelles, dehors...
    La suite de ta vie, elle était en moi,
    La suite de toi, elle était dans mes poésies,
    Ce matin, à l'heure de la fine rosée,
    Ton souvenir s'éteint, je t'ai oublié,
    Où sont passés les jours à te regretter ?
    Où sont passées mes ½uvres enlarmées ?
    Je t'avais vu perdre un combat,
    Le mien, ça y est j'ai fait une croix,
    Il est dur de vivre sans toi,
    Je ne m'en sied toujours pas,
    Mais, ici, on ne choisit pas,
    On doit avancer à grands pas,
    A grands pas devant soi,
    Ce midi, à l'heure où la lumière est au zénith,
    Mon âme hésite à prendre le couloir de l'infini,
    J'ai rendez-vous avec la Grande Faucheuse,
    Car ma vie devient creuse,
    J'ai rendez-vous avec toi,
    Tel est notre plus beau choix,
    Là, au-dessus des flots,
    Loin de tous ses Salauds,
    On se retrouvera,
    On cherchera nos auras,
    Et on s'endormira...

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  • le seigneur de la nuit

    par une nuit de pleine lune, à l'heure du crime

    ton ombre se devine en haut des cimes

    furtive, rampante, elle se rapproche mouvante

    sous ma fenêtre où règne l'épouvante

    tu hantes les rêves de mon repos

    la buée se forme sur le carreau

    le vent souffle annonçant ton arrivée

    soudain silence, tu te poses ailé

    ma pièce se fond dans tes ténèbres

    tes yeux perçants me pénètrent

    d'un regard flamboyant de ardeur

    tu me brules déjà le coeur

    tu glisses peu à peu jusqu'à mon chevet

    et caresses mon corps aux aguets

    tu déposes sur mes lèvres un baiser

    et découvres mon cou pour me mordiller

    happant mon âme de tes crocs

    tu me donnes la tienne par delà les mots

    tu suces longuement mon sang

    apaisé ton corps glacé se réchauffe lentement

    tu le colles doucement contre le mien

    allant venant comme un félin

    mes cris te bercent et composent une cadence

    nous formons à deux une danse en transe

    au moment de l'ultime jouissance

    tu m'enlaces et reprends aisance

    tu me souris, prince des nuits

    et frôles mes cheveux couleurs rubis

    tu quittes mon nid et déploies tes ailes

    et deviens alors mon hirondelle

    tu me donnes un dernier baiser tristement

    relâchant ma main aimante délicatement

    tu longes mon lit et t'ouvres à la brise

    je replonge dans mes songes, éprise

    un dernier regard en guise d'adieu

    et tu retournes dans les cieux

    tu n'est plus qu'un beau souvenir

    qui nourrit mes rêves à venir

    il était une fois un vampire

    qui aimait une reine et son empire



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