• l'Oublimon désir...

    sensation infinie qui nous désunis
    tu n'existe plus, je t'ai déchu
    ton image est écorché, ton visage enflammé
    tu es dans l'enfer de mes pensées

    ton oubli me détruit
    je rêve de toi la nuit
    je cherche sans trouver
    un trou noir s'est formé

    mon coeur dans le malheur
    à obscurcie mon esprit
    ton nom gravé est enfermé
    dans les catacombes damnées

    ton oubli me prend vie
    je n'ai plus d'envie
    à part te détruire
    pour tout reconstruire

    tu ne pourras plus me nuir
    ton souvenir ...

    un ange devient démon
    sans l'amour profond
    la haine inhumaine
    du désespoir qui l'enchaîne

    arrivé à la destruction
    le coeur en explosion
    le monde est à l'envers
    tout est à refaire

    quête inachevée
    avenir animé
    coeur enchanté
    vie espérée

    mon soupir...

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  • amour introuvable
    puisque qu 'indéchiffrable
    coeur déchiré
    puisque qu 'indésiré

    âme ésseulée, où vas tu te nicher ?
    va finir tes jours, longs, à pleurer
    nue, survivant à la ronde
    dans le meilleur des mondes

    amour indésirable
    puisque regrettable
    coeur épuisé
    puisque éventré

    amour tolérable
    puisque véritable
    coeur attaché
    puisque vivifié

    âme sauvée, où vas tu te plonger ?
    va finir tes jours, longs, à aimer
    nue, s'unissant à la seconde
    dans le pire des mondes

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  • le Revenant (Charles Baudelaire)comme les anges à l'oeil fauve
    je reviendrai dans ton alcôve
    et vers toi glisserait sans bruit
    avec les ombres de la nuit;

    je te donnerais, ma brune,
    des baisers froids comme la lune
    et des caresses de serpents
    autour d'une fosse rempant

    quand viendra le matin livide,
    tu trouveras ma place vide,
    où jusq'au soir il fera froid.

    comme d'autres avec la trendresse,
    sur ta vie et sur ta jeunesse,
    moi, je veux régner par l'effroi.

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  • Je t'aime

    tu as souris
    tu as dit oui
    tes yeux de nuit
    m'ont éblouis
    on s'est compris
    pas de conflits
    aucun bruits
    juste nous unis
    à l'infini, dans l'oubli
    par delà l'envie
    le mépris et l'ennui
    je te prédis
    tu me guéris
    c'est l'esprit
    l'amour épris
    l'âme sortie
    la raison partie
    le rêve assouvie
    la vie abolie
    ici, le temps est pris
    lieu de survie
    tous à l'abri du monde aigri
    chante la vie
    sans souçis
    partage unis
    le plus beau cri

    par delà philosophie... je t'aime

    tu as pleuré
    l'ai je mérité ?
    tes yeux enlarmés
    m'o,t supliés
    on s'est aidé
    bien à l'unité
    beaucoup d'idées
    juste nous peinés
    mais décidés
    par delà aimer
    sacrifiés, soudés
    tu m'as respecté
    je t'ai laissé
    c'est l'humanité
    l'amour gravé
    la raison éggarée
    le rêve réalisé
    la vie espérée
    et, le temps s'est retiré
    lieu de piété
    loin des regrets
    chante l'égalité
    le bonheur réifié
    un pas avancé
    vers la vérité

    par delà nos possiblités... je t'aime


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  • Adieuque mon amour périsse entre tes mains
    tel un ouragan noyé dans le chagrin
    de la passion naît la négation
    du bonheur découle l'abstention
    depuis notre accord désespéré
    mon coeur, la souffrance à enchaîné
    plus de nécessité d'aimer
    l'amour s'est enfuit dans l'éternité
    pacte soudé de deux âmes éppleurées
    au nom de la lune et des djinns ailés
    que les diables emportent nos tourments
    dans l'entre monde tel un fantôme errant
    adieu merveilleuse illusion
    rendez vous dans le tréfond
    espérant une liberté volée
    au destin séparant nos desseims
    malgré ce lien défiant le temps...

    11/11/07

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